La CFDT n’a pas signé de chèque en blanc et ne le fera pas. Le dialogue social doit rester le mot d’ordre. « Baisse des effectifs, baisse du pouvoir d’achat des cheminots, restructuration, productivité, concurrence », ces termes ne sont pas nés un certain 4 Août avec la réforme ferroviaire. Malgré ce que certains essaient de faire croire, ils sont bien connus de la direction de l’entreprise et depuis longtemps !
La CFDT n’est pas une Organisation Syndicale qui commente, la CFDT s’engage. Un engagement dans l’intérêt des cheminots.
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