Certains n’hésitant pas à recourir à la grève illimitée pour
peser, non pas sur le débat parlementaire, mais pour exiger que ce débat n’ait pas lieu.
Bien que tout le monde s’accorde à penser et à dire qu’une réforme est nécessaire, la peur du changement conduit certains à refuser
le débat démocratique, fort d’un niveau de mobilisation qui n’a jamais atteint les 30 %.